Henry VIII: January 1529, 21-25

Letters and Papers, Foreign and Domestic, Henry VIII, Volume 4, 1524-1530. Originally published by Her Majesty's Stationery Office, London, 1875.

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'Henry VIII: January 1529, 21-25', in Letters and Papers, Foreign and Domestic, Henry VIII, Volume 4, 1524-1530, (London, 1875) pp. 2283-2297. British History Online https://www.british-history.ac.uk/letters-papers-hen8/vol4/pp2283-2297 [accessed 20 April 2024]

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January 1529

21 Jan.
Cal. D. X. 323. B. M.
5193. FRANCIS I. to the BISHOP OF BAYONNE.
* * * "... an qui est entre nous que comme de ... parlant des affaires que j'ay comme ... vous sentissiez de luy et de mondit sieur [le Cardinal mon] bon amy, s'ilz sont pas tousjours en ... de ne me laisser ny habandonner au ... par ledit Perot Douarty, je feray contin[uer] ... en la forme que vous adviserez pa ... mieulx pour le bien et conduicte de mes ... pendant, et leur ayant ouvert ledit propo[s, en toute diligence] qu'il vous sera possible vous m'adver[tirez] ... qui vous y sera faicte et de l'espiran ... ensemble de toutes autres choses que vo[us] ... de pardela. Et sur ce je vous diray a[dieu, Mons.] de Bayonne."
St. Germain en Laye, 21 Ja[n.] Signed.
Badly mutilated.
21 Jan.
Vit. B. XI. 29**. B. M.
5194. JOHN CASALE to [WOLSEY].
The Pope is dead. He was in good health when Casale left Rome. He was taken ill at mass on the Epiphany, as Wolsey will see by the enclosed letters. Received today letters from the duke of Urbino from Pesaro, saying that he was dead. Will write more fully by the next courier. Is sorry he left the city, for he might have done something to prevent the election of an Imperialist.
However, his two brothers will do their best, and also Peter [Vannes] and his companion, whom he supposes to be at Rome, as they left Bologna on the 7th. Italian affairs are in the same state as at the departure of his cousin Vincent, except what has happened at Aquila, of which he encloses an account. Venice, 21 Jan. 1529. The signature is pasted on the preceding page.
Lat., p. 1.
22 Jan.
R. O.
5195. GARDINER to WOLSEY.
This Friday morning, wind and tide being favorable, I embarked for Calais, intending to go on with all diligence to Paris, and there await my letters. Dover, Friday, 21 (fn. 1) Jan. Signed.
P. 1. Add.: To my lord Legate's good grace. Endd.: Doctor Stevyns, of the the (sic) 22d of Jan. Sealed.
23 Jan.
R. O.
5196. VILLIERS L'ISLE ADAM to HENRY VIII.
Has been late in his return to Nice, in consequence of illness, through which he was detained at Lyons 26 days. Has spared no pains in making provision for his Order. As Henry has professed his willingness to assist them, sends Antonio Bosio, who lately returned from Spain and Portugal, to tell the King what success he has met with, the liberality of these monarchs, and the state of their affairs in the East. Nice, 23 Jan. 1529. Signed.
Lat., p. 1. Add. Endd.
23 Jan.
Cal. E. II. 112. B. M.
5197. WILL. LORD SANDS to _.
Has received his letter, "whereby ... disposition of troublous constellations for h ... whereof I beseech Almighty God to extend his hand of ..."
Hears from the captain of Boulogne, and from his son John Sandes, that the county Seint Poule has written to the French court of the death of Andrew [Doria] and Antony Levar, whereby the Frenchmen esteem themselves at a great advantage, and the Emperor at so much hindrance. Shatillion is deceased, and is much lamented by the French [king] and Madame Regent.
Heard yesterday from Flanders that the captain of Tourneham reported that [the] cardinal of St. Jaques and his confederates endeavored to steal the Emperor's eldest [son], and bring him to the French king, for which [they] were taken, beheaded and quartered. The letter enclosed may be transported with the next. As yet keeps his [bed]; by reason whereof, for the season he cannot come. Desires to be recommended to the commissioners. Will come to him as soon as he can walk. Guisnes, 23 Jan. Signed.
P. 1, mutilated.
23 Jan.
R. O.
5198. SIR ROB. WINGFIELD to [TUKE].
Wrote yesterday, and sent you a packet from the Master of the Rolls. A messenger has returned from Hacket with a letter which you will receive. Whereas I told you I looked for my Lord Chamberlain's coming, you will see by his letter enclosed how the matter stands. As he is not likely to be here so soon as is necessary, Master Halys shall pass to him tomorrow; for he and Sir Ric. Weston would be glad to be gone on account of the term. Our commission stretches to so many things that we cannot attend to them all. Will be glad, when the term is ended, if the solicitor were sent over again. Great diligence will be required, especially as love and trust are decayed in all Christendom. After I had despatched my letter Dr. Stephen arrived, of which Tychett did advise you. Calais, 23 Jan. 1528.
P.S.—"In these ye shall receive a letter directed to my lord Legate from John Sandes."
Hol., pp. 2.
Cal. D. X. 311. B. M. 5199. [FRANCIS I.] to the BISHOP OF BAYONNE.
* * * "... ces aultres articles contenuz tant en vostre [lettre que en celle de] Mons. le Legat, mon bon amy, devo[ient] ... raisons et recors que sur ce il vous a alleguez ... de conclurre et parfaire la chose le plus à mon [honneur] que faire se pourroit, vous l'en remercyrez [de ma part] le plus affectionnement qu'il vous sera possible, [et aussi] luy ferez entendre que je trouve les choses conte[nues en icelles] tres justes et raisonnables pour les raisons [exprimees] en vostre dite lettre, ne croyant qu'il y eust grande diffic[ulté de] ... et arrester les choses sy une foiz elles estoie[nt] ... et achemynées pour ester les principalles diff[icultés] ... sy estoient derrenierement trouvéees du tout vuyd[ées et] hors de dispute, parquoy la ou il se trouver[a quelque chose] de les offrir et proposer en lieu la ou il y eust [pouvoir] souffisant de les accepter, et en ce faisant de [deliberer] et arrester le faict de la dite paix, je seray tous[jours d'accord] qu'ilz soyent offers et mis en avant; et puis que l'advis ... dudit Roy mon bon frerc et perpetuel allye et de mondit [sieur le Legat] mon bon amy est tel que suivant iceulx l'on conclue ... car pour ung sy grant et si necessaire bien a ... l'on ne me verra jamais refuser condicion honnes[te qui a este] conseillée et confortée par mondit sieur le Ca[rdinal] ... vous pourrez semblablement dire que ... mieulx traicter, conclurre et pa ... * * * ... Roy mon bon frere et perpetuel al[lye] ... uniement sans separacion comme je ... il ne me sauroit advenir chose dont tant je ... à mondit sieur le Cardinal, mon bon amy, de ceste la ... que de plus pres me touche ... tre quelle ... parquoy vous le p[rierez] de ma part vouloyr en ... de excogiter tous les mes ... les honnestes mo[yens que] luy semblera devoyr tenir [pour] mener la chose à bonne [conclusion] en cestuy affaire, qui est commung et general pour le bien [de toute] la Chrestienté, de traval, soing et sollicitude que je sçay [que de] bon cueur il a accoustumé prandre pour mes affaires par ... comme j'en ay en luy une parfaicte et entiere fiance ... pour y parvenir il est question d'accorder et arres[ter] ... de la tresve generalle comme vous le m'escripvez par vostre dite ... ung, quatre, ou cinq moys, encores qu'il n'y ait personne ... t d'interest que moy je suis bien d'advis que en mectant ... ladite paix en termes, il se parle semblablement de la ... pour l'amour dudit Roy mon bon frere et de mondit sieur [le] Legat mon bon amy, et pour plus facillement et seurem[ent] ... pouvoyr traicter et cappituller les choses je seray tres content ... de conclurre et accorder, pourvu qu'elle se face pour ceste sculle [occa]sion et que les choses demeurent en l'estat quelles son[t] ... ement de la dite tresve pour empescher que cependant l'Empereur ne ... [Au demou]rant, Mons. de Bayonne, j'ay veu et bien noté apr ... lettre et la depesche qui a esté faicte" * * *
Mutilated.
Cal. D. x. 312. B. M. 5200. [FRANCIS I. to the BISHOP OF BAYONNE.]
* * *" ... pour souffrir ne parmectre ... e qui y saiche engendrer doubte ne s ... quant à moy, j'ay bien ceste seureté et ... son bon sens, prudence et grande experience ... convenir de chose sy cautelleusement ... mise en avant comme est ceste-la sans f ... que la fin et intencion pour laquelle elle est ... est proposée n'est pour autre raison que p ... dessus et pour prolonger et gaigner le temps ... à celle fin d'empescher que à ceste nouvelle sais[on] ... n'essayons à plus vivement le rechercher que [n'avons] encores faict, comme je voy qu'il sera force n ... de faire qui le vouldra faire, venir et condescendre ... ce qu'il me semble se devoir faire, mais que ... roidement et de telle sorte qu'il congnoisse [quelle] puissance ont les forces jointes et unyes de [deux] grans roys et si bien alliez comme nous som[mes, le Roy] mon bon frere et perpetuelle allye et moy ... pourroit par adventure par cy apres desd ... autrement sentyes qu'il a faict jusqu[es a ce qu'il] prandroit à sy grant gl ... * * * ... siste encores que ce ait esté ... permission de Dieu que par la vertu ... ministres, comme chacun a peu veoir et cong[noistre, luy] advisant que de ma part je suis deliberé d'y [pourvoir] entierement tout ce sera en mon pouvoir sans [rien] y espargner, car Dieu merey je n'ay moins le moy[en de le] faire que je l'avoys an commencement de l'année passée ... que ledit Roy mon bon frere de sa part ne sera ... volonté de luy faire sentir et congnoistre sa force ... faire, et qu'il est tenu et obligé de faire, et jesp[ere que en] ce faisant et le tastant en chose qui luy soit pl[us] ... que l'Ytallye, que nous le reduyrons et ramenerons [à la] raison et à ce que tant nous devons desirer, et pour au ... le terme n'est long d'icy à l'achevement de la tresve ... à expirer en Fevrier, il me semble de ceste heure estre [besoin] de parler des choses dessusdites et de la deliberacion en quoy vo[us] trouverez ledit Roy mon bon frere de se preparer à faire la guerre cest esté, et ou et de quelle sorte il seroit d'advis et oppinion de la faire, ne se trouvant moyen de parvenir à ladite paix pour l[a conclu]sion de laquelle, quelque chose qu'il y ait, je ne su ... y dit pour jamais refuser ny re ..." * * *
Mutilated.
Jan.
Cal.D. x. 302. B. M.
5201. [FRANCIS I.] to the BISHOP OF BAYONNE.
"[Mons. de] Bayonne, Mons. de Vaulx, Jehan Joaquin ... faict de la part de nostre Sainct Pere plusieurs ... la principalle de mectre paine accorder toutes ... en Italye, pour apres les avoyr unyes, faire ... Sainctete les seigneurs, potentatz, et communaultez dicelle ... chef nostre Sainct Pere, et en laquelle le roy d'Angle[terre mon bon] frere et perpetuelle allye et moy seroient contracte[urs] ... qu'il m'a tousjours semble et faict encores qu'il ... moyen de rompre les desseings et entre-prinses [de l'Empereur et] d'avoir toute l'Ytallie contre luy et luy faire la gu[erre] de pardeca, ainsy que de pieca je l'ay faict remons[trer aux] ambassadeurs Italyens estans icy en la presence de ... pour lors ambassadeur dudit Roy mon bon pere a ... a ceste cause expedie icelle de Vaulx avec pouvoir et ... aux Venitiens, Fleurentins, duc de Millan et de Ferrare ... afin, si faire se peult une si saincte et saluta[ire] ... ainsi que pourrez veoir par le double que je vo[us envoye] par Perot Douarty, a celle fin de les communicquer ... audit Roy mon bon frere et perpetuel allye, [et a Mons. le] Cardinal mon bon amy, laquelle je ne faiz ... auront pour tres agreable, veu mesmement ... comprandre de leur volente, par les le ... [jus]ques icy escriptes. Et * * *
"[Au de]meurant, Mons. de Bayonne, je vous [advertis que de]puis quatre ou cinq jours icy arrive deux de ... Marguerite, l'un nomme Rozimbos, l'autre Guillau[me des Barres] son secretaire, lesquelles, a ce quilz m'ont dit [a l'audience que] je leur ay ce jour d'huy baillee, sont venuz avec [charge de leur] maistresse de me remonstrer les attemptatz qu[i ont este] faictz au prejudice de la tresve nagueres conclutte ... et qui vient prochainement d'expirer, demandant ... en estre faicte selon que les cas le requerroient ... d'adventaige nouvelle proclamation se feist de la dite [tresve] selon le placcart qu'ilz ont apporte, dont je vous [envoye] le double; vous priant, Mons. de Bayonne, faire ... bien entendre au Roy mon bon frere et perpetuel [allye] et a mondit sieur le Cardinal mon bon amy, ausquelz je [ne vueil] estre aucune chose sellee, mesmement des communica[tions] que telz gens auront pardeca, estant seur quilz m ... ront ... mauvais que ladite proclamacion se face en la sorte q ... je la vous envoye, comme dit est, veu qu'elle contient aucun ... et qu'ilz ne fere ... difficulte de leur couste d'ainsy le faire, ne voullant ... er de vous dire, que apres qu'ilz m'ont en faict les ... es dessusdites et prenant conge de moy * * * ... ses en Espaigne pour les affaires par ... [il] me semble n'estre inconvenient de leur accord[er] ... danger que je voy en leur dit passaige.
"Au surplus, Mons. de Bayonne, je vous vueil bien [advertir de ce] qui m'est survenue puis trois jours de la grie[ve maladie] de nostre Sainct Pere, laquelle par les lettres ... du dix, unze, quatorze et seizeyesme de ... [est] tousjours alle en empirant, tant que finable[ment, comme] jay veu par advertissement venu a mon cousin le [comte de] Sainct Pol du duc d'Urbin, que le xixe il ... de vye a trespas, qui est nouvelle telle [et de si grande] consequence, qu'il me semble que l'on doit pens[er] ... ce qui sera affaire en ceste matiere. Pour ... de toute la Chrestiente, et pour ce qu'il est bien b ... que Mons. le Cardinal bon mon amy, lieue ... use de son accoustumee prudence a regarder ... ce qui sera a faire en ceste endroict, po[ur] ... que les choses ne tumbent aux inconveniens ... par le passe. Vous le prierez a ceste ... vueille travailler et mectre toute ... chercher et trouver le * * * ... [te]nir la main et m'employer de sorte ... si faire se peult une paix generalle en l ... en a de besoing, ce que je ne voy chose dif ... faisant chacun de son couste comme j'ay entrepri[ns de faire du] myen, et que je scay estre l'intencion du [Roy mon bon] frere et perpetuel allye, et de mondit sieur le [Cardinal] mon bon amy, desquels vous mectrez paine den [tendre] les oppinions et advis, a celle fin de m'en advertir en [toute] dilligence, pour sellon icculx me savoir en ceste [chose] guyder et conduire. Et actendant par Perot Douart[y que] je feray partir dens deux jours, pour leur faire plu[s]amplement et particullierement entendre toutes cho[ses]ainsi quelles seront survenues, je vous diray seull[ement] pour fin de lettre que j'ay ja commance a faire achemyner [mes] cousins les cardinaulx de Bourbon, de Lorraine, et d ... p[our] se trouver a l'eslection qui se pourra faire du Pape futur, avec l'ayde desquelz et des autres cardinaulx que j'ay ja pardela autant affectionnez Francoys qu'ilz sauroient estre, [je]spere que pour le moins empeschera l'on qu'il ne se ... ng a la devotion des Imperiaulx, et po ... besongne ja * * * ... ne et autre potentatz mes alliez ... jay escript pour cest affaire dessaye[r] ... force ensemble de huit ou dix mille hom[mes de guerre que] jay presentement pardela, a celle fin de pou[voir] ... de donner liberte au Colleige des Cardinaulx ... eslection, mais d'empescher ce moyen qu'il ... en icelle faict aucun trouble ou violence, qui [est chose] concernant tellement le bien de toute la Chrestiente, [tant] general que particullier, que je ne faiz au ... ne treuve bien pardela de me secourir et ayder a ... entretenir ladite force, laquelle pourra estre cau[se] ... de faire eslire personnaige selon nostre devotion ... par la parvenir au bien de la paix et recouvrem[ent de mes] enffans, qui est toute ce que nous pouvo[ns a ceste] heure desirer, et combien que ledit Perot Dou[arty apporte des] amples instructions sur toutes choses, sy v ... son armee la me faire entendre la responce ... estre sur se faicte, continuant a me faire tousjours ... comme vous avez tres biens faict jusques icy." ... Jan. 1528.
Mutilated.
Cal. D. x. 316. B. M. 5202. [FRANCIS I.] to the BISHOP OF BAYONNE.
"[Mons. de] Bayonne, j'ay tousjours differe ... [de jou]r a autre a depescher Perot Douarty po[ur aller devers le Roy] mon bon frere et perpetuel allye, pardeva[nt] ... dedans peu de jours l'envoyer bien instruict [de toutes les] choses, tant passees que de ce qu'il me se[mble] ... l'advenir, et pour ce que sur cela est icy a[rrive] ... venant de nostre Sainct Pere avecques plusieurs ... lesquelz j'ay delibere le depescher pour s'en ... le tout toutesfoiz communicqu[e] et faict enten[dre au Roy] mon bon frere et perpetuel allye et a Mo[nsieur le Cardinal] mon bon amy, ce que j'ay differe de faire j[usque le departement] dudit Perot Douarty, a celle fin que ayant veu et [considere la] depesche dudit Joa[chi]m, il en puisse rendre ... et entierement leur ... Et ce pendant vous ay bien voulu renvoyer la ... pour vous advertir des nouvelles qui me sont ... passez survenues, tant du camp de mon a[rmee avec Mons. de St.] Pol, que de ce qui est en la Brusse et e ... avee le sieur Rente, qui est en effect ... Bayonne, que Montijan avec douze ... alla l'autre jour ... nore jusques s ... il faillit a entrer pour * * * ... en laquelle il faillit a estr[e] ... ne se feust gecte d'une fenestre en la ... ou de ses esclaves le sauverent et le ... lleres. Mais il ne sceust donner si bon vo ... [a]llast et point entyerement tous ses meubles ... gros tant en argent comptant, bagues, vaisselle, ... que plusieurs autres biens, estimans le butin qui a este [prins] a ladite course plus de ijm ducats. Depuis le co ... a deffaictz deux enseignes de lansquenetz sortiz de ... et ung cappitaine des myens nomme Villeroque (?) ave[c] ... mille hommes dont il a la charge, et ... on l ... deffaictz et rompuz sept ou huit cens, que Espa[igneulx] que Italyens, de sorte que ceulx qui sont en la Lom[bardie], tant a Millain que en deux ou troyes autres lieux, po ... sont reduictz a sy petit nombre que j'espere estant ... mondit cousin de Sainct Pol ... je luy ay escript. ... bien tost le bon ... temps, faisant les autres ... les (?) veoyr comme il ... qu'ilz ... nous aurons ... fin de ce ... ste (?) la ... Qu[ant a] ... de la Poille, il s'entend par lettre address[ee] ... estans a Rom[me]," * * *
Badly mutilated.
Cal. D. x. 236. B. M. 5203. [MONTMORENCY] to the BISHOP OF BAYONNE.
"... le Roy a presentement ... e, qui est telle novite ... les provisions qui pour ceste heure ... [plu]s amplement pourray veoir par les lettres ... [qu]e remectray, et feray fin a la presente, en [priant Dieu vous] donner ce que plus desirez. De Pa[ris] ...
"[Ce po]rteur a este paye pour aller et revenir ... vous advise que ladite novite a retarde ... de Warty d'ung jour ou deux. Maistre Stephan es[t parti] cinq ou six jours a, sans veoir le Roy ne [prendre congie] des siens, s'excusant sur l'extresme diligence qu ... vous advertiz que ledit Sieur n'estoit que a tr ... luy a este baille tout ce que luy estoit necessaire p[our] ...
"Signant la presente en ay receu une de vous du xx ... mauvaise cause de vous plaindre de n'avoir long ... de deca, mais je pense que depuis aurez eu ... depesches sans ceste cy ou il y a bien matiere ... pour souvent aller veoir Monsieur le Legat." Beginning of signature only visible.
Add.: M. de Bayonne, conseiller du Roy, et son ambassadeur devers le roy d'Angleterre, &c.
Badly mutilated.
Cal. D.x.317. B. M. 5204. FRANCIS I. to _.
* * *"forussiz qui se viennent tou ... ilz sont paradventure pour faire plus ... et empescher les ennemys a faire nulz autres dessains ... pour ce que tant pour l'armee que j'entretiens en la Lom[bardie], qui est de cinq a six mille hommes sans ceulx que pay[ent] mesdits confederez, et semblablement celle que jay en la dite p ... et en l'Abrusse, il me convient porter une merveilleuse [et] excessive despence, chose que seul il m'est ... aise de pouvoir soustenir ne porter, je serois b ... ayant trouve ledit Roy mon bon frere * * * a Bar[le]tt[a] * * * d'Espaignolz, qui estiment en leur endroict aur ... leur maistre et merite avoir de luy tresbonne ... Et la ou par justice p ... r baronny ... chasteaulx de leurs propres auctorites s'en sont ... entierement pour tout le dit royaume de l ... qu'ilz ont use a Rommes du temps du ... les seigneurs Neapolitains qui se so[nt] ... susp ..." * * *
Badly mutilated and defaced.
Cal. D. x. 318. B. M. 5205. [FRANCIS I. to the BISHOP OF BAYONNE.]
* * * "... ent la moitie du bruyt qui co[urt] ... tains aymeroient plustost avoir le Turc [pour maitre que deme]urer soulz Pobeissance du susdit Empereur.
"[Et q]uant a l'Abrusse, le sieur Camille Perde Urs[in] ... Montorye, et de laquelle tyennent la plus grant [partie du pa]ys, mesmement la ville de la Matrice qui est ... l ont de deux a troys mille hommes gaignans ... ys. Ausquelz j'ay envoye le payement de ... pour les renforcer, en maniere qu'il ... moins les ennemys de tout ce cou ... [se]ul escu, car avec le nombre ... les jours rendre a e ... ne conserver l ... * * * mil hommes des siens et ... oye, qui fut laissee derrenierement ... adventaige qu'il tenoit assieige le conte ... [c]hastean nomme Grudo (?) et pareillement ... les terres, qui sont en une montaigne nom[mec] ... mys Montefredonnye qui est au pied, et le ... angerbe (?), lequel est assis au plus hault ... Et combien que les dites places ne s ... ce [nean]tmoins l'on en aura lu ... des b ... p ... se pouvoyr ... ennemys ont envoye ... Bourely (?), vray e ... suppe ... "* * *
Badly mutilated, and in part defaced.
24 Jan.
Cal. D. x. 324. B. M.
5206. FRANCIS I. to the BISHOP OF BAYONNE.
"[Mon]s. de Bayonne, j'ay receu vostre lettre du xij ... puis deux jours, je vous aye bien au long escri[pt] ... bientost apres faire partir Perot Douarty su ... ay mande, par lequel vous pourrez ente[ndre] ... Sy vous ay je bien voulu ce pendant depes[cher] ... pour vous faire entendre que quant au pro[poz dont vous] m'escripvez par vostre dite lettre, que Mons. de Ve ... le Millort Chambellant touchant a faire la guer[re] ... mon intencion estoit de ly faire, je vous a[dvertis, Mons. de] Bayonne, que vous m'avez faict plaisir d'en re ... sorte que vous avez faict, et que c'est verite ... que vous en deviez dire; car apres avoir en[tendu tant] de Messire Silvestre que d'autres, la facillite ... guerre en Espaigne qu'ilz m'ont faicte, et voy[ant] ... du Roy mon bon frere et perpetuel allye est[re] ... me suis arreste et resolu de l'entreprandre ... ainsy que par ledit Perot Douarty, lequel [je renvoys] pardela pour cest effect, j'espere plus [au long faire] entendre audit Roy mon bon frere et perpe[tuel allye, et Mons.] le Cardinal mon bon amy pareillemen[t] ... et conseil desquelz je suis delib[ere] ... s en toutes * * * ... et en qui j'ay plus de seurete et f[iance] ... ledit Perot Douarty leur declairera bien am[plement] ... il me sembleroit qui se devroit faire pour l['execution de] ladite emprinse, et que bientost il sera pard ... remectray sur luy le demeurant. Et vous diray ... quant au faict d'Itallye dont pareillement vous ... mesmement du couste du Royaume que Dieu mercy [les] choses y sont en tres bon estat, comme vous p[ourrez] mieulx veoir par la lettre que j'en ay eue de mon am[bassadeur] estant a Fleurence, laquelle je vous envoye a [fin] que vous la puissiez monstrer et faire veoir a mondit [sieur] le Cardinal, mon bon amy, pour le faire entendre [au] Roy mon bon frere, que je suis seur aura plaisir [a] l'entendre. Quant a la Lombardye, vous avez veu [par ce] que je vous en ay derrenierement escript, et depuis ne ... est survenu autre chose, bien m'escripvoient ilz qu'ilz avoient quelque entreprinse entre mains laquelle ilz esperoient bien tost mener a chef, de quoy et de [tout ce] qui m'en viendra je ne fauldray a incontinent vo[us adver]tir. Ce pendant, et entrant sur le propoz ... d'Itallye et de la des ... ne * * * semble que vous ne devez faillir a ouv[rir] ... faict ne l'avez, que je vous ay derreni[erement escript,] qui est de les pryre ne me laisser ny ... besoing, mais vouloyr continuer a me s ... a porter ladite despence que seul il est im[possible que] je sceusse faire et j'ay bien ceste seure[te] ... qu'ilz ne feront point pis qu'ilz ont faict ... et qu'ilz sont seurs que je vouldroys faire [le semblable en] cas pareil.
"Au demeurant, je vous advise que je m'en ... a Paris, et que la j'ay commande qu'il se feist ... de tous les marchans Angloys qui sont venuz [faire] plaincte pour le faict de ses depredations ... avant que nulle autre chose faire. On reg ... faire et administrer la meilleure et plus promp[te justice que] faire se pourra. Qui sera comme j'espere [telle que chacun] aura occasion par de la s'en contenter."
Sai[nt Germain en Laye], 24 Jan. 1528. Signed.
Badly mutilated. Add.
Cal. D. x. 238. B. M. 5207. INSTRUCTIONS OF FRANCIS I. to his AMBASSADOR in ENGLAND.
* * * "[ambassad]eur par devers treshault ... [Henry par] la grace de Dieu, roy [d'Angleterre, defenseur de] la Foy, son treshault, tresai[me frere, cousin, et] perpetuel allye, de ce qu'il aura [a luy dire et] remonstrer, et pareillement a M[ons. le Legat] son bon amy.
"Et premierement, apres avoir s ... et tres affectionnees recommandations ... [au roy] d'Angleterre, son bon frere, luy presentera [les lettres] que le dit Sieur luy escript, et aprs ... creance ainsi et par la forme et ... luy a donne charge de ce faire, tien ... et propos que ledit sieur roy d'Angleterre ... tenir, ce que s'ensuit:
"C'est assavoir que la ou il viendra ... compte par le menu au dit sieur Roy pour [avertir mon dit] sieur le Legat de tout ce ques affaire ... a faict depuis le partement de Mons. [de Langes ?] ... du royaume d'Angleterre, et jacoit q[ue] ... este escript a Monsieur de Bayonne; tou[tesfois] ... bien voulu que ledit sieur de Langey en ... affin du tout en respondre, par le me ... des propos, et ainsi qu'il verra qu'on l[uy veult] demander, et que les dits Sieurs puyssent ... manifestement veoir que tout ainsi ... Roy et pareillement Madame sa [mere] ... et repoz en eulx tant de la ... que particulierement de la del[iberation de ses] enfans, aussi b[ien] * * * ... conseil at advis ... ont pour le bien comm[un] ...
" ... nt a propoz de parler du voyage [que Mons. de Lau]trec a faict a Naples, dira que [le Roy a desp]endu incredible somme de deniers sans ... y espargner, comme il a este audit de ... re par les comptes qui en ont este rend[us] ... icelluy sieur de Lautrec avoit entierement con[quis l'Abrus]se, la Pouille et terre de Latour, et n ... Naples, lequel despieça avant son deces et ... ste este le refreschissement de vivres que ... lieutenant du cappitaine Andre Doric, estant au service [de l'Empereur] soubz la banyere de France, luy avoit cont[re sa f]oy et serment donnez. Et pareillement quant ... malladie se pourte au camp dudit Sieur la plus ... [e]t plus estrange dont jamais l'on ayt ouy par[ler] ... le dit sieur de Lautrec mourut avec plusieurs [autres] gentilzhommes. Ladicte ville estoit toute pres[te a se] rendre, mais la rompture du camp [dudit Lautrec, qui est] advenu par ladite maladie empesche la red[dition d']icelle ville, qui eust este fin de guerre, et aus[si auroit du] retirer infalliblement le Pape a nostre devotion, [et nous] mectre en seur[ete] de toutes choses.
f. 239. " ... ledit Sieur a depuis entretenu au royaume de Nap[les] ... ance le conte de Mortorio, le prince de Mel[pui] ... de Trancte, Camille Pardo Ursin et plus[ieurs autres gentilshommes] du Royaume en grant * * * ... [desp]endu depuis ladite ... francs ... oultre l'ayde ... Venytiens luy donnent.
"D'autre part ledit Sieur entretient ... St. Pol son lieutenant, lequel est ... a couste jusques icy600,000 ... espere de brief avec le duc d'U[bin] ... le petit nombre de gens qui y est ... sont, s'en vont tous les jours a ... et de vivres, veu le nombre et ... nouvellement a este baille audit ... d'Ytaliens que lansquenetz comme ... aise a cognoistre.
"Et avec ce entretient icelluy Sieur ... grosse armee a la mer Mediterranee ... plusieurs gallions et neuf ou dix gros [navires qui] sont sur la [mer] pour tousjours tenir ... [en] craincte et despence et favoriser le ... somme qu'il luy convient bailler aux ... son sur les [ex]tremitez de son royau[me] ... ceste heure a 500,000 francs p ... comprins l'ordinance [de] sa gendarm[erie].
"Et ne lassera ledit Sieur de faire ... encores plus grosses si mestier est [affin que la] paix universelle soit faicte et qu[e l'Empereur luy livre] ses enffans, et sondit bon frere ... enquoy luy est tenu lenn ...
"Plus dira * * * ce qu'il se l ... des deux roys estans ... bien de la paix, liberte ... [la] Crestiente.
"... rt dira que Jehan Joaquim, sieur de Va[ulx] ... t de Romme avec memoires et instr[uctions] ... a fin de faire une ligue entre m[ondit Sieur] ... [l]edit sieur roy d'Angleterre son bon frere ... [les es]tatz et communitez d'Ytalie deffensive et of[fensive, affin de] recouvrer la paix universelle, remectre ... St. Siege Apostolique en la sorte et mesme au[ctorite qu'il] avoit este parcydevant, gecter hors d'Ytalie ... [Allem]ans et Espaignolz, recouvrer messieurs les enff[ans du]Roy et ce que est deu a icelluy roy d'Angle[terre] ... que a ces fins se face une grosse armec ... [Italic,] qui sera souldoyee des denyers de la contrib[ution] ... chacun desdits allyez fera, et neantmoins en mesme [temps le] dit Sieur doibt avoir une grosse armee aux confi[ns d'E]spaigne comme il sera dit cy apres.
f. 240. "[E]t pour parvenir a icelle ligue ledit Sieur a envoy[e des amba]ssadeurs memoirs et instructions aux Venytiens, Fl[orentins, et au du]c de Ferrare, affin de composer les differens [qu'ilz on]t avec nostre Sainct Pere, et pour le desir que ... a icelle paix universelle delaisse son royaume ... [Na]ples et duche de Milan, sur lesquelz est ... les dessusdits sieurs et potentats ayent, s'il est ... euses des pieces qu'il commandra paradvant[ures] ... pour satisfaction et contenctement * * * ... qu'il n'a faict jusq[ues] ... ner paix universelle et ... l demande.
"Le Pape par le moyen d'icelle ... l'Empereur excommunie, et le pr ... royaumes de Napples et Sicile ... il demourera invoquer le bras [seculier] ... croisade, affin que l'argont qui ... a faire la guerre a l'encontre dud[it] ...
"Si priera bien fort de la part dud[it] ... le roy d'Angleterre et Monsr. le C[ardinal] ... de bien vouloir penser audit traicte d ... a ses ambassadeurs a Rommey voulo[ir] ... en ce qu'il leur sera possible comme ... et necessaire au bien commun de ces deu[x] royaumes.
"Et d'autrepart dira que ledit sieur R[oy] ... une grosse armee preste au moys d'A[oust] ... du royaume d'Espaigne pour ... la force et estant la dedans en us ... maniere que lesdits sieurs Roy et le ... et consellieront. Et aura en sa [dite armee] ... mil hommes de pied dont les d ... Et desja a envoye ledit sieur en ... bonne somme d'argent pour len ... sont prestz pour la plus gr[ande] ... hommes d'armes, mil che[vaux] ... artillerie avec sa * * * ... [ju]sques aceste ... ee si bonne somme ... frere s'en doibve contenter ... [ic]elle guerre d'Espaigne, laqu[elle] ... e ledit sieur Roy pour satisfaire a ... records tant dudit sieur roy d'Angleter[re que de Mons.] le Cardinal son bon amy, ne sera l ... [s]era bien tost une paix universelle ... [l]edit Empereur sera assailly de tous e[ostes].
"[Ledit sieur] aura aussi sur mer grosse armee ... la Mediterranee trente galleres et dix na[vires] ... [g]ros gallyons armez muniz et equippez de t[out ce que leur] sera necessaire, dont la plus grande part ... a preste; et du coste de la mer oceane ... [lie]utenant de l'Admiral de France, est icy pour dres[ser] ... armee qui sera pour le moins de quinze g[rands na]vires. Et a delibere ledit Sieur de s'esvertuer de [son pou]voir pour mectre fin a la guerre; parquoy prie ... [au]dit sieur roy d'Angleterre vouloir de sa part dres[ser une armee jus]ques a six bon navires et les esquipper pour l ... pour ce trouver ensemblement avec l'armee [du] Roy son frere sur les confins et portz d'Espaigne.
" ... dira que deux officiers de la maison de Ma[dame] Margueritte, c'est assavoir, Rosimbourg et des [Barres son secre]taire, sont passez icy allans en Espaigne par ... ont demande reparation de quelques ... contre la tresve ainsi que ledit Sieur ... cavoir (?) a Mons. de Bayonne * * * ... ne telles que le ... ment a entendre, mais a ... se sont trouvez journellement ... tresve au grant prejudice des ... son royaume. Et la ou ledit ... gens de Madame Marguerite a ... le contraire, il leur plaira nad ... mensonges.
"D'autre part, quant aux depredatio[ns] ... Francois contre les Angloys dont me ... parle audit Sieur, il en est aussi m ... que plus ne pourroit. Et veult en ... les traictez faictz et passez entre ... sans y riens obmectre, et si aucu[n] ... faicte au contraire le veult faire re ... et de plain. Et a ces fins a mand[e] ... d'Angleterre qui est icy de bailler les ... marchans d'Angleterre et que les tra ... ensemble, ensuivant lesquelz s'est de ... que le roy d'Angleterre aura cause ...
"Et la ou ledit seigneur Roy d'Angle[terre et] Monsieur le Legat vouldroyent de ... de ceste contribution jusques a ce ... des partiz proposez a nostre Saint [Pere par Mons. Jean] Joaquin que par treinte et ... ont charge de * * * ... longueur telle ... ouvertures mesmement ... comme il est l'Empereur pour ... [pr]omptement pourveu de faire de ... es et mesmes de descendre en Ita[lie] ... estre son intention qui seroit la ... de tous les desseings communs. Pa[rquoy il est tres ne]cessaire que ces deulx Roys se resoul[droyent promp]tement de ce qu'ilz auront a faire, ce qu[e ne peu]lt bonnement faire sans que une bonne [conclu]sion se prenne de ladite contribution, afi[n que la de]ssus le Roy puisse mesurer ses forc[es] ... [v]eoir qu'il aura a faire, et la dessus ... guerre par si bonne et prompte execution [que] soit au bien et exaltation des affaires com[muns].
"[Da]vantaige s'ilz s'excusoient de conclusion certaine ... sans ne se povoir resouldre qu'ilz ne voyent au ... es forces le Roy mectera ensemble pour de leur ... mer ce que par la raison ilz debvront faire con ... nes que durant ceste este pourroit advenir par le ... en du Pape suyvant les ouvertures de Mons. le ... t l ... de ceste guerre; leur sera dit ... [n]y aura faulte que tout ne s'execute, tant en ... qu'en Italie en la forme que dessus, qui ... este sans excessifs fraiz et mises. Toutesfo[is] ... t adviendroit la fin de la guer[re] ... [co]ntribution et ne cha ..." * * *
25 Jan.
Galba, B. IX. 106. B. M.
5208. J. HACKET to WOLSEY.
Has received a letter from Tuke, dated the 11th inst., saying that he had not received Hacket's letter of the 24th ult., and asking Hacket to repeat the contents. Wrote on the 16th and 17th ult. that my Lady had told him that a French gentleman had come to her, who told her as a great secret that he had charge of the French king and Reg[ent], how they suppose to find the way to make peace and concord between the Emperor and the French king; [but] because he brought no letter of credence, my Lady let him go home as wise as he came, saying that if he had brought letters she might give him answer by a letter, but to words she gave only answer in words.
About the 8th Dec. he came again to my Lady, with letters of credence and sufficient power from the French king and Regent, and declared to my Lady and Hoghestrat that if they will keep the matter secret, he doubts not that the Emperor and the French king, with their own subjects, will find the right way to a final peace and concord, without the mediation of any other persons; that he had power to bind the said French king (fn. 2) and Regent (?) to pay the sum of 100,000 crowns to them that will help to bring this business to perfection, and has showed them in writing how all may be brought to pass. This proposal was liked here meetly well, and at his request my Lady and Hoghestrat have sent Rossynboix and de Barris to the French king and the Regent for a confirmation, with commission to pass thence to Spain to the Emperor at the French king's costs, "s[ub] ombra" that they are taking my Lady's letters to the Emperor to inform him of the peace of Gheldyrs, "with other wyt ... that they have done here upon the land of Owyrstycht and Uttrecht, which seemeth to dyw[ers] of their countries a right lawful cause, bu[t] the wennemens concept of the verity is [not] thought to be known by more persons than [are] named here after following:"—my Lady, Hoghstrat, the card. of Luke, lord Fiennes, the Aud[iencer], Rossynboix, de Barr[is, and] three other lords of the order, who do not wish this business to come to perfection, lest the exa[mple] of others might turn to their declination. They wonder here why the Lord Chamberlain and Deputy have visited so substantially the frontiers of Calais towards this country. It is right needful to see to such things. Heard a gentleman say that if two or three old ships were sunk at the entry of Calais haven, it would prevent them from having succours if there were war with this country. Would tell Wolsey all he knows if he would recall him, for he spends the King's money and his own without doing any great service. From Barrow, sent by Wm. Lok, 25 Jan. 1528.
The gentleman named above is "the Secrettayre Lesleu Bayart."
As to my Lady, if there were no worse English hearts about her than she is her self, we should know from her own mouth all business of importance. She told him in a general manner that the French king would fain make an appointment and peace with the Emperor unknown to the King or Wolsey; but his Grace knows how to find out the truth without letting the ambassadors know that he has heard of it. If he would write or cause Tuke to write that he has heard such tidings, and wonders that neither my Lady nor Hacket mention it, "whether such tidings be true or not, by such means I [should] know the right ground of my said Lady st ... whether she be plain and good willing [to] us or not, touching this foresaid business."
As to the money owed by the Emperor [to] the King, if this business takes effect the king of Portugal, as it is said, will be content to answer [and] pay the said money. It is reported here that Jehan Lalleman, who was secretary to the Emperor in Spain, has so misused himself that he is not well at his ease, if he be alive; and that Jehan Duram, who was secretary to the governor of Bresse, has taken sanctuary for some fault against the Emperor, whereby Hoghstrate has lost a friend. If he lost half a dozen, "the Emperor would be nothing the worse served between the King, your Grace, and him." A report has come to my Lady that Wolsey had openly declared some grievous words of the Emperor, but, as a discreet princess, she said that she might not believe such reports. "They have here their tongues at as great liberty as we have our wild beasts in Ireland." Mons. the Reux is preparing to convoy 40 new pieces of ordnance, and 10 other pieces, with 400 hagbushes, to the Emperor in Spain, and says that he never trusts to see this country again until the Emperor comes to Rome, or that he has his pleasure of the French king. If this people might as soon do a thing as they speak many things, they would do wonders; but for all their cracking, if they have no other help but of themselves, they will not break out unless we break first. For all this, it is necessary to attend to the defences round Calais. A secret parliament has lately been held about the defence of the country, and to collect money after the manner of a petition. They say that it is an ill token that the King would [not] buy and take in payment from the French king all the lands that my Lady Van Dome has in these countries; and also, as the lord Fiennes told me, that the men of Calais "kyttyls" much about Graveling, to know the strength of their works and the depth of their waters. At the said parliament there was ostension done secret ... if the Emperor will he may be at a reasonable ... of peace and concord with the French king, and that more to his [advan]tage than it was offered in times past.
The conclusion is kept secret.
Hol., pp. 7, mutilated. Add. Endd.
25 Jan.
Le Grand, III. 281.
5209. DU BELLAY to MONTMORENCY.
Does not wish to be too long without writing, though he has little to say, but if Montmorency give him no more occasion than he has done he ought to be excused. You know nothing can be more secret than the way things are treated here, and no one goes to court who is not sent for, or has not something special to do; so, unless you give me occasion, I shall have nothing to write to you. No doubt I can get up pretexts sometimes, but it would not be well to continue it. Besides, it would give satisfaction here, and avoid suspicions, if you wrote more frequently. I presume you have already heard Dr. Stephen, of whose departure I wrote to you. Although they kept it secret, I knew it four days before; but as the court was in the country I could not learn the cause of his mission. Two days ago, when Campeggio came here again, I tried to discover it, but I assure you the thing is so secret that even many of the Council know nothing about it. Probably, however, he will confer with you about it in person. I suspect that the Pope, by the chamberlain, whom he has sent to Campeggio, has commanded him to meddle no further, seeing things are taking quite a different turn from what he had been assured, and that the Emperor's affairs in Naples are in such a state that he dare not displease him; while Francis is not so strong in Lombardy as he hoped, and the Emperor's forces were increased by the arrival of the Spaniards, and the money brought by cardinal St. Cross. I will lay 20 to 1 that my conjecture is near the truth, and if he put it otherwise to you I believe he means to cloak the matter.
Begs him to write a line that he can show Campeggio, expressing satisfaction at his devotion to Francis.
The intention, of which I wrote to you, to expel strangers from the kingdom, had cooled a little, but within these few days has been brought forward again, and I expect shortly that 30,000 Flemings will be sent away. They are much dissatisfied, and declare they will make war this year, but I think the English are more afraid than they pretend of not obtaining the truce, and I know that Wolsey was very angry that his men had kept Thade so long in court, for he would have liked the Pope to have come forward about that matter of truce; but, so far as I see, nothing is ready, and the Pope will be in no hurry to arrange it without full deliberation. The ambassador of Hungary has persuaded one Ossestre (Hochstetter), who was here about the gold mines that the king of England was seeking for, to return to Germany, on the plea that he was required by Ferdinand and the king of Hungary. But it is all a trick to avert suspicion about his passage, and in order to send news to his master; for he has let to farm to Hochstetter, as having the power to do so, the mines of Hungary, and has given him a faithful servant, whom Hochstetter, in going to the king of Hungary for confirmation of the contract, conveys safely to Germany, and by whom he informs the King, his master, of everything. I have informed the said ambassador that my brother was too ill to go on the voyage, and I named to him several of those whom he has seen at court, to ascertain with which of them he would be best pleased. He said he would be very well satisfied with La Pommeraye, and if he cannot get him he would have no one who is not a Frenchman, saying that in Germany they trust no other nation. As to my brother's marriage, I beg you will continue your good offices, and do me the favor to get Francis to allow me to convey hither 300 muicts of corn, which I have in my abbey, of my own growing. I will take this in recompense for the money which Campeggio compels me daily to lose "avec les ducs, dominique, et les aultres," but I do it for the honor of my master. London, 25 Jan.
Fr.
Le Grand, III. 295. 5210. DU BELLAY to MONTMORENCY.
While waiting to close his packet at the departure of the tide (au partement de la maréc), learned from a good authority that the charge of Dr. Stephen is, among other things, to tell the Pope that if he do not make Campeggio proceed with this divorce and despatch the matter, the king of England will throw off his allegiance. This, I am told, is quite certain, and it agrees with what I wrote to you. Campeggio came upon me today by surprise at my lodging, where, having leisure to speak to him apart, I tried to probe him on this matter, but I see he dare not speak, so I suspect that Dr. Stephen will not have told you everything either; but, at all events, I thought it right to tell you all I have been able to make out. Wolsey is in great difficulty, for the affair has gone so far that if it do not take effect, the King will fall out with him, and if he do, he will have to carry it with a strong hand (?) ("il aura à faire à forte partie"). Cheyney had offended Wolsey some days ago, and had been put out of the court. The young lady has put him in again, and used very rude words of Wolsey. Think what may be the effect of this. The duke of Norfolk and his party already begin to talk big, but certainly they have to do with one more subtle than themselves.
Fr.
25 Jan.
Add. MS. 28,578, f. 13. B. M.
5211. KATHARINE OF ARRAGON to MUSCETULA.
Has received his letter with the other writings. Thanks him for his diligence in her service, and begs him to continue. Wishes to know what answer the Pope made to his petitions. Will commend his services to the Emperor. Desires credence for Inigo de Mendoza. Hampton Court, 25 Jan. 1529.
Modern copy, Spanish, p. 1.
ii. Inigo di Mendoza to [the Same].
Has received three letters from him, the last dated on the 13th ult., and also the protestation and supplication made in the Queen's matter. Muscetula could not have done better. His advice that the Queen should apply to get the cause revoked to Rome would have been taken long ago if it had been possible; but she can do nothing but what her husband desires. His Holiness, however, should see that in this kingdom she cannot defend herself, and for the honor of the Church the case should not be allowed to be decided out of Rome. The Pope has always written to his Legate, as you have informed us, that, not being able to draw the Queen into religion, the case should be suspended (que en el processo suspodiesse) until he receive a new mandate from his Holiness.
A draft letter has been prepared with much trouble and difficulty, which the Queen may write with her own hand to the Pope, expressing her free will, on which I hope the cause will be removed to Rome.
Arrangements for communicating through cardinal Sanctæ Crucis.
The Queen had two dispensations from pope Julins. Of the first and principal the King has here an authentic copy, as the Emperor also has in Spain, but of the second they have none in England, and they will use every effort to get it from the Emperor; but his Majesty will, of course, take great care not to give it up, as in it consists the whole of the Queen's right. If the original or the register can be discovered at Rome, it would be well to get an authentic extract, or at least get it examined.
The Queen was compelled some days past to swear solemnly that she would use every effort to get the brief which the Emperor has, and they have made her write to the Emperor for it as urgently as if her life depended on it; but his Majesty must be informed that this was done entirely under compulsion.
Bids him inform the Cardinal Sanctæ Crucis that he has intelligence that the kings of France and England and the Cardinal make great suit to the Pope that he should go to Avignon, where they offer to go themselves, so as to arrange matters that the Emperor's journey into Italy may be prevented (que pidan la jornada del Imperador in Italia). London, 25 Jan. 1529.
Modern copy, Spanish, pp. 5.
From the French Archives. 5212. CARDINAL WOLSEY to the EARL OF BEAUMONT (MONTMORENCY), Grand Master of France.
Having begun to build two colleges, one at Ipswich, which is the place of my birth, and the other in the university of Oxford, where scholars shall be brought up in virtue, and qualified for the sacerdotal dignity, which edifices cannot be properly completed because we have not here in abundance the stone which you have there; for this reason I pray you very earnestly to be a means with the King your master that he will do me the honor to assign to me a quarry at Caen, in Lower Normandy, and that leave may be given to my people there to take and carry away all such stone as shall be necessary for the perfection of the said edifices, without paying any duty thereupon. Richmond, 26 Jan. 1529.

Footnotes

  • 1. The only year during Wolsey's legateship and before his fall in which the 21st of January was a Friday was 1519. The 22nd was a Friday in 1529.
  • 2. "Emperor" in MS.